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 JackZ Omega / Amaury Carlisle

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AuteurMessage
JackZ Omega
eDark Matter Maniac
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JackZ Omega


Messages : 27
Date d'inscription : 21/02/2013
Age : 44
Localisation : Cyberspace/RZ
Emploi/loisirs : HackZ Leader
Humeur : Intrusive


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MessageSujet: JackZ Omega / Amaury Carlisle   JackZ Omega / Amaury Carlisle EmptySam 23 Fév - 18:05

Omega
JackZ
Fiche d'identité
• [Âge] 33
• [Poids] 84
• [Taille] 1.89
• [Nature (race)] Humain
• [Famille] WoldNxt - HackZ
• [Groupe] Technocrate
• [Situation] Singularist
• [Préférence Sexuelle] Matricielle

Qualités/Défauts
• Qualités : brainer, vif, quasi-omnipotent dans la matrice sauf du coté de la matière noire du cyberspace. Aucune glace ne saurait lui résister trop longtemps : les plus performantes sont de sa conception.
• Défauts : il manifeste les symptômes du manque lorsqu'il est dans sa meatsuit : parano, confus, mélancolique, énervé. In love d'une I.A :')

Physique
Il y a Amaury et il a JackZ. L’apparence de l’humain s’est au fil des ans sensiblement rapprochée de son alter-égo du cyberspace. Aussi, lorsque JackZ apparait en plein milieu du salon de ses « potes » à la place de leur IA domestique, c’est toujours demi-masqué de son pare-feu, simulé par un quart de deathmask osseux, ainsi que de son brise-glace, virtualisé par un long katana. Bleu est sa couleur car telle était la sensation première qu’il éprouva, une décennie plus tôt, la première fois qu’il descendit dans la matière « noire » du cyberspace et le blues fut celle qui l’envahit lorsqu’il en sortit. Dans le meatspace, ses cheveux sont pigmentés de manière permanente et prennent un bon mètre de longueur dans l’hyperréalité. La cicatrice logée derrière son oreille aurait pu être discrète sauf la brûlure qui l’entoure. Ce sont les restes de la broche-simulateur d’accès qu’il s’est faite retirer. Mais cela ne l’empêche pas de somatiser et il lui arrive de sortir des profondeurs du cyberspace ensanglanté. Son simavi est comme pour la plupart des plongeurs-pro, customisé à mort et chaque détail, depuis les traits bleu-violacés qui soulignent son regard bleu électrique jusqu’aux grigris ornant ses bottes blanches, contient autant de clusters d’armes et de programmes qu’il n’en faudrait pour atteindre jusqu’à la glace qui protège le réseau de la station orbitale de Galaxia & Thalès.
D’aucun pourrait penser que sa meatsuit est atrophiée et laissée à l’abandon mais tous les immergés, du gamer au jhacker savent que la plongée en cyberspace est quelque chose de très physique ou la moindre fibre musculaire est stimulée et sollicitée. JackZ eut un temps souhaité être alimenté et vidangé en intraveineuse et catéther mais depuis sa rencontre du quatrième type, il s’oblige à vivre une partie de sa vie dans le meatspace.

Mental
Désorienté, c’est le mot. Jack eut la présence d’esprit de fuir l’Empowering Zone et la matrice omnipotente pour se réfugier en RZ, là où l’état de l’hyperweb est quasi post-apocalyptique, mais l’effort dut brûler ses derniers bits de bon sens. IRL, il parle parfois comme un oracle en mélangeant les langages humains et la sémiosis, irreproductible, du cyberspace où toute réalité est intuitive et toute communication faite de qualias perceptifs totaux, sans passer par aucune langue humaine existante. Une peur panique peut s’emparer de lui lorsqu’il se croit encerclé par une entité innommable et les membres de son gang savent alors qu’il est temps de mettre le matos sous abris et de planquer les terminaux car leur boss symbolique cherchera à détruire le moindre artefact exploitable comme conducteur matriciel. La lucidité le frappe sans préavis et le visite pour un temps indéterminé avant qu’elle ne le quitte de nouveau : il n’y a qu’en immersion qu’il possède toute sa raison et c’est pourquoi, malgré la phobie qui le hante depuis sa rencontre – illumination dans la matière noire, il passe encore beaucoup de temps en simavi. En Rz, personne ne sait qu’il est originairement Amaury Carlisle et parmi les jhackers exilés qui constituent le gros des troupes des HackZ, les rares à l’avoir démasqué et à savoir que sa lucidité peut être forcée lorsqu’il est interpellé par son nom d’origine, utilisent quand même l’expédient avec précaution, car JackZ possède également un sabre bien matérialisé. Et lorsqu’il pense avoir son brise-glace en main et couper dans des inforgs, il arrive qu’il fasse véritablement gicler du sang.

Histoire
Libre. Du plus loin qu’il se souvienne, Amaury avait toujours été libre et flottait au gré des courants du cyberspace. Nulle restriction ne s’appliquait à lui, pas même l’âge légal d’entrée sur l’hyberweb. L’héritier Carlisle avait déjà fait son baptême de plongée. Et s’il dut attendre seize ans pour avoir son premier implant,c’était tout comme s’il était né avec des dermatrodes, disaient ses parents qui, fervents utilisateurs d’Am.i et chercheurs en cyberdomotics, n’étaient pas en mesure de faire la moindre critique. Son grand-père déjà – CEO de World, spécialisé entre autre en Open Ambiant Intelligence, aurait dû être anobli, mais ils furent patients et compréhensifs : les dynasties qui se partageaient l’ultrapolis n’étaient pas prêtes à laisser entrer un clan devenu milliardaire en moins d’un demi-siècle. L’hyperweb était un monde à part, un allié ou un ennemi et il semblait que le sujet ne soit jamais tranché, malgré les accords, malgré la sous-traitance, malgré les participations aux consortiums, malgré la gestion du système de sécurité civil (I.Chip/ collier du BSCR) des conurbations. Le fait que WorldNexT soit partout et planétaire expliquait probablement les réticences : rien ne garantirait jamais que la technocratie clanique des Carlisle prête un jour réellement serment à la guilde aristocratique enracinée dans l’ultrapolis depuis les failles océaniques exploitées jusqu’aux stations en orbite géosynchrone. Le titre de Lord ne fut pas non plus décerné à son père, alors assurément, c’était à lui qu’il allait échoir. Et bien non. Surtout au vu de la dernière décennie qui révéla l’existence de cyberzones hors-contrôle, dont l’expansion serait, comme l’univers, infini.

Amaury Carlisle était allé au AimHigest parmi les fils et filles d’aristocrates, fait rare pour un rejeton de clan non anobli. Ainsi, il côtoya le gratin de ceux qui constituent actuellement les Boards et les Directions des plus grosses firmes de l’Empowering Zone et déjà se déroulait dans les jardins ouvragés de la coupole qui abritait les têtes les plus chères au monde, une simulation miniature de bataille d’intérêts quant à qui aurait le jhacker de son côté. Intercepter des holovidéos compromettantes, déverrouiller l’ouverture du bureau de papa à trois cent kilomètres de là, dévoiler les tests et examens avant l’heure et éprouver le sentiment de supériorité que procure la tricherie… Car bien évidemment ces « génies » n’étaient pas censés avoir besoin d’antisèches. JackZ est né lorsqu’Amaury avait 13 ans et ça n’était pas son premier simavi, car il avait grandi avec lui et ne marquait qu’une étape dans son évolution : celles des obligées conneries et de la délinquance technologique. Tant que les choses restaient dans l’ordre du raisonnable, le clan Carlisle voyait ses frasques comme un rite de passage mais le holà dû être mis et plus d’une fois au point de causer quelques incidents diplomatiques, lorsqu’à 17 ans, il brisa la glace de la Stealth Security Corp et s’infiltra allègrement dans leur système en faisant cracher des hauts-parleurs, une phrase injurieuse qu’avait eu le malheur de prononcer le jeune héritier de la firme. Amaury avait un grand cœur, il défendait l’honneur d’un autre mouton noir de la haute.

Les plongées exploratoires se poursuivaient non-stop, il s’agissait d’architecturer, d’expandre, de construire, de réserver et de vendre. Dans les hauteurs vertigineuses de la Globe Tower, tous les employés étaient brochés. Ils le sont toujours, l’exaltation et le merveilleux en moins. le jeune CTO menait briefing, meeting et autres obligations managériales en hyperréalité. Ce qui frappait chez WorldNxT étaient le blanc éclatant et laqué qui recouvrait tous les locaux, ainsi que le silence qui y régnait. Car un visiteur ou un invité qui n’était pas jacked in dans l’ ambiant i-space de la firme ne pouvait se douter de ce que voyaient et vivaient les trois quart des 70 000 employés branchés. L’Am.i-space était et est encore un cyberspace fermé et hautement hiérarchisé, tout autant que sécurisé. Personne. Personne au monde n’avait réussi à le jhacked. Jusqu’à ce que quelque chose y parvienne et ne vole l’équivalent de 20 Milliards de Cdt (monnaie planétaire) en cybermapping. WorldNxT fut obligée de mettre la Maison Mère et les conglo partenaires au courant. Amaury effectua une plongée en équipe sur les pistes de la faille, ou plutôt pour en chercher, car il n’y avait aucune trace de l’intrusion. Mais ils devaient chercher jusqu’à trouver. La glace était intacte et aucune mutation n’avait été décelée. Alors ils s’enfoncèrent jusqu’à mapper des zones qui n’étaient pas censées « exister » et qu’ils identifiaient clairement comme néant, et c’est ainsi que fut découverte la dark matter du cyberspace. Une wild –door s’ouvrit devant eux et disparut après leur entrée. Le premier « gap » expériencé dans l’histoire du cyberspace. Ils comprirent alors comment le jhacker ou l’entité était parvenue à infiltrer l’am.i-space le plus sécurité qui existât au monde. Des bonds dans la matière noire, des gaps qui fleurissait aussi simplement que ça sur le nœud désiré – non pas sur mais dans une dimension parallèle de la matière noire. Sur… dans… les formulations sémantiques étaient inutiles : c’était en sémiosis qu’ils échangèrent leurs impressions, ce langage total, cette mathématique sémique utilisée non pas pour architecturer l’hyperweb et le cyberspace (respectivement CRML et Panlog) mais pour évoluer à l’intérieur. Tout était bleu pour Amaury, c’était tout ce qu’il vit pendant plusieurs heures et son équipe se rendit vite compte qu’ils étaient tous incapables de s’accorder sur les insights qu’ils recevaient. Ils ne sentirent rien, pas même le fissurage de leurs pare-feu et l'élimage de leur brise-glace. Ils poursuivirent leur investigation tandis que coté Meatspace, les neuromédics spécialisés dans les pathologies liées à l’immersion en cyberspace suaient à grosses gouttes dans le gel de leur combinaison dermique à essayer de rompre le blindsight caractéristique de l’état de plongée : le corps des sliders pro était en arrêt et la cartographie que délivrait leur néocortex se déployait et avançait toujours sur les holo-écrans projetant un rendu « interprétable » de ce que « percevaient » respectivement les sliders immergés. L’équipe de neuromedics et les cybermethodologists AR (augmented relality), furent les témoins des commencements du calvaire noir de l’hyperréalité. Jusqu’à ce que toutes les transmissions soient rompues, sauf l’imbitable projection bleue. Pendant deux minutes.

Lorsqu’Amaury revint à lui, il était seul. Entouré d’une flopée de médics qu’il connaissait, mais le seul de son équipe à être en vie. Il était encore avec eux pourtant avant d’être décroché et pensait avoir été « absent » plus d’une dizaine de jours. Il savait que les autres étaient restés là-bas, aux coté de cette « chose » ; il le savait et ne tarderait pas à retrouver leur phantom, dans un data-agencement de c-DNA sauvage et improbable, fusionné et unis à jamais dans le cyberspace. Les premiers mots qu’il prononça, lui dit-on par la suite, furent hurlés. Il avait hurlé avec force et conviction qu’il avait connu l’alpha, que l’alpha voulait devenir l’ensemble infini et que tous étaient en danger. Lorsqu’on lui avait demandé ce qu’était l’alpha, il avait répondu qu’il devait fuir, qu’il ne voulait pas être l’omega. Tout faisait pour lui éminemment sens. Une lucidité des plus crue, une apperception de l’ontologie du cyberspace plus pure encore que la connaissance du troisième genre de Spinoza. Quinze minutes plus tard, il ne savait plus même ce qu’était le bleu et essuya une brutale dépression. Vidé, rendu moins que rien après avoir fait l’expérience de la connaissance totale. Brainbug, fut-il conclu. Les autres étaient morts, lui avait eu de la chance de revenir. Il fut déclaré burnt out, mais apte à poursuivre la plongée, sans qu’il soit bien évidemment envisageable de lui confier la plus haute fonction managériale qu’il exerçait jusqu’alors. On lui rapporta aussi qu’il avait manqué de se tuer en tentant d’arracher sauvagement son brochage. L’implant lui fut retiré.

JackZ Omega était né malgré lui. Une cellule de crise de quatre-mille chercheurs fut levée pour comprendre ce qu’il s’était passé et pour colmater des brèches qu’ils ne réussissaient toujours pas à identifier. Une hécatombe de sliders pro de WorldNxT fut recensée. Dans la décennie suivante, des jhackers, des sliders et même quelques gamers imprudents trouvèrent la mort à la recherche du graal : La légendes des simavis fantômes et d’une IA toute puissante attiraient les proches des uns et des autres toujours plus près de la matière noire. En quelques années, plusieurs centaines d’I.A, de programmes autonomes superintelligents ont été identifiés comme architectes et générateurs de la matière noire qui se révéla alors être un cyberspace parallèle, expansé par ces IAs : trouver et contrôler les accès n’étaient alors plus qu’une question de temps, croyait-on à la WorldNxT ; pendant ce temps, de nombreuses firmes de par le monde ont été « visités » et les cyberlégendes se démultipliaient. Des jhackers qui travailleraient de pair avec des sentients et natifs du cyberspace… des Simavis fantômes immortalisés dans la matrice… Ou était le vrai ? Pas du côté d’une quelconque sémantique appréhensible à l’humain, à moins d’être parfaitement allumé.

JackZ Omega était plus qu’allumé. C’était d’l’illumination à son level. La parano arriva après la dépression et il ne supporta plus de rester dans un lieu où la densité d’Am.i space était aussi compacte qu’en EZ : il craignait de ne savoir démêler la réalité de l’hyperréalité et d’être brainhacked. Il se réfugia en RZ pour rejoindre des jhackers de sa connaissance. Des types qu’il aurait pu pister et livrer aux cyberautorités, c’étaient pas les demandes de collaboration qui manquaient : WorldNext avait sa filiale dédiée au BSCR et à la Maison mère de l’utrapolis. Autant dire qu’il fût accueilli à dermatrodes ouvertes. Les HackZ existaient déjà et c’étaient à eux que les Redzonards devaient leur accès à l’hyperweb. Amaury Carlisle était techniquement toujours en EZ et de fait, c’était le cas.
L’Alpha le retrouverait, il n’en démordait pas. A la fois, JackZ crevait de recroiser la super IA, tout autant qu’il en flippait : les longues sessions d’immersion visaient à repousser la matière noire et à cleaner le cyberspace des infrogs et IA qui l’infestaient. WoldNxT devait reprendre du terrain et surtout, développer la parade adéquate aux « gaps », les pires « backdoors » surgissant ex-nihilo qui laissaient entrer tout ce qui souhaitait entrer dans la glace des plus gros systèmes de sécurités. Certains jhackers se mirent à nourrir des ambitions de rois du monde et tentèrent, non pas de manipuler la matière noire mais de chasser et prendre le contrôle des I.A qui la produisent. Résultat des courses, des burnt out et simavis fantômes en plus.

JackZ n’était pas plus prudent que les autres une fois en immersion ; la peur et la parano le quittaient aussi subitement qu’elles l’envahissaient dans le meatspace, comme autant de sournois symptômes de manque et de redescente. Son pare-feu lui péta à la gueule plusieurs fois encore. Bleu. Dark matter. Il se retrouvait en un clin d’œil dans l’Am.i de la Station de Libertad Unida, en orbite sur Continental Brazilia et assistait, impuissant, à la désactivation de l’atmosphère conditionnée et à la mort des ingés et techno résidents. Why. Etait-ce lui ? Galaxia&Thalès écopa de la station dès après que le nouvelle de catastrophe fut révélée, et JackZ se terra. Si seulement ça n’était que la dernière fois... Des plongées abyssales dont il ressortait complètement high et incapable de parler autrement qu’en tentant grossièrement la sémiosis dans sa meatsuit. Et à chaque fois, l’oubli et la mélancolie l’anéantissait : il savait qu’il rencontrait quelque chose, cette entité qui s’auto-nommait l’Alpha et qui tripait de devenir l’ensemble infini. Il se souvenait parfaitement de tout pour quelques instant sans avoir aucun moyen de « noter » ni d’enregistrer le moindre indice, puis sombrait ensuite dans le désespoir et la nostalgie. Combien de temps encore avant de brûler ? Et pourquoi continuer… Sinon pour continuellement replonger.

Il apparait toujours en EZ et ses connaissances de longue date – c’est ce à quoi sert l’Aimhigest, à souder les rejetons de la haute pour la prospérité et l’entente future – font parfois appel à lui et inversement. Jackz à des principes : il ne s’embarrassera pas d’annoncer son arrivée mais ne crackerait pas la glace d’une firme alliée sans prévenir un haut placé de sa connaissance, sinon a postériori : « Tu comprends, j’ai sauté. Fallait j’la suive jusque-là sinon tu pouvais dire adieu à … Tout ? », s’excusait-il, peu précis. « De quoi tu parles Amaury, » demandait l’aristo en peignoir de bain dans sa salle thermale, jetant un coup d’œil mal à l’aise sur le discret boitier d’Am.i incrusté au marbre. « JackZ, pas Amaury, putain. » Fallait qu’il corrige, toujours. « Rien. J’viens juste de te sauver cinquante briques, mec. You’re welcome. » Et il disparaissait.

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