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 Dylan Valrogh

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Dylan Valrogh Empty
MessageSujet: Dylan Valrogh   Dylan Valrogh EmptyLun 18 Mar - 15:18

Valrogh
Dylan
Fiche d'identité
• [Âge]20
• [Poids]77
• [Taille] 1.80
• [Nature (race)] Mutant
• [Famille] Pantocracy
• [Groupe] Technocrate
• [Situation] Challenger
• [Préférence Sexuelle] : N’en sait rien

Qualités/Défauts
• Qualités :innocent – observateur – calme – exempt de tout vice
• Défauts : Trop innocent – Pas assez confiant en lui-même – Peur de n’être qu’une copie

Physique
Les traits fins et éphébiques de Dylan n’ont pas été déformés par la colère, la rancœur, la haine et le vice du modèle original. Son teint d’albâtre se colore devant la moindre félicitation et ses longs cils noirs s’abaissent sur des prunelles d’améthystes claires et brillantes. Effacé, il souhaiterait parfois l’être mais son physique passe difficilement inaperçu : un grand corps élancé, couronné d’une céleste chevelure blanche dont les mèches folles font souvent office de voile protecteur envers le monde. Tableau trop beau pour être vrai. Oh, il l’est. Mais ses gènes viennent en camoufler les rayures. Les taillades qu’il s’inflige cicatrisent bien plus vite que la normale, car Dylan est porteur, tout comme l’original, des gènes Kazal1 et TGF ß1. Il est un mutant doté de facultés autorégénératives (régénérations d’organes détruits) et de réparation accélérée des tissus. Ce n’est que dans les quelques heures qui suivent une crise, que se verront les scarifications.

Mental
Mélancolique, calme et brillant d’une énergie concentrée et pour l’instant contenue, Dylan n’a subi aucune des batteries d’expériences que le modèle original eut comme lot quotidien et n’était pas même conscient de ce qui se passe dans les étages biohazard de la Pantocracy. Pourtant, il semblerait que les crises de scarification aient eu lieu dans un étrange parallèle en atteignant leur crescendo lors de l’expérience lazaréenne. Certainement l’explication est à chercher du côté de l’activation de la faculté pseudo-psi. De son « frère » en tout cas. Car l’activation de sa propre faculté est actuellement en plein process sans qu’il n’en ait véritablement conscience : de plus en plus souvent, les personnes qui l’entourent se sentent tristes, mélancoliques et éprouvent un imbitable besoin de le consoler. Les salves de messagers chimiques qu’il dispense reste assez faible et il n’en a toujours pas prit conscience. Curieux et toujours avide d’apprendre comme moyen de s’absorber et noyer sa psyché dans des activités prenantes, il est un génie des chiffres et un [i]rider[i/] avancé de l’hyper web. Se perdre dans le cyberspace est une manière comme une autre de dériver. Mais tout ceci n’est maintenant plus suffisant. Rien ne saurait suffire à lui faire oublier qu’il est une copie. Pour l’instant.

Histoire
Son original valait bien trop cher pour être le seul exemplaire à avoir été développé. Un accident pouvait si vite arriver. Encore, Dylan ne se doutait pas d’être déjà oncle, en quelque sorte, pas plus que son original ne le savait. S’en douter et savoir avait tout un monde de possibles pour différences. C’était comme ce jour, lorsqu’il avait assisté à la grande projection de l’annonce officielle de la Pantocracy, à l’occasion de la révélation du gène de Lazare. Il avait treize ans en ce temps-là, et sa tutrice, Julianna Cohen Langlois était à ses côtés ; ainsi que tout le gratin du Board des directeurs Pantocratiens, réunis dans une même loge du huitième étage de l’immense amphithéâtre interUltrapolis. Dylan avait douté et des coups d’œil avisés avaient été jetés sur lui : comprendrait-il ou non ?

Au centre de la conférence, sous huit-mille paires d’yeux technocratiques venus de toutes ultrapolis, se tenait le cobaye star de la génétique, en jeune homme fait. Et sauf la chevelure blanche et les yeux violets, rien ne permettait d’affirmer qu’ils étaient copiés sauf pour le regard des yeux avisés et mis dans le secret. Yiéran Valrogh. A sa vue, les cicatrices fraiches des scarifications matinales l’avaient démangé, et il lui avait semblé que tout son corps prenait feu et brûlait au récit technique de l’expérience menée sur cet étrange mutant, mi- scientifique, mi- cobaye. 9% du cerveau endommagé. Le visage du jeune homme était projeté sur quatre gigantesques écrans et nulle trace de handicap ne semblait être rémanent, sinon un regard noir de triomphe qu’il ne revit plus jamais, sinon le de rare apparition de com’ corporate holoprojetée, jusqu’à ce que ses vingt ans n’aient sonnés.

Bien évidemment qu’il se savait être mutant. Allons donc, il était pantocratien après tout et suffisamment instruit pour avoir reçu les bases nécessaires en matériaux génétiques, depuis la robotique jusqu’aux coûts de production d’un embryon commandité en génétique chimérique, et passant par la cybernétique et les systèmes d’intelligence multi agents. Il devait être à même d’assister l’actuelle CFO de la firme omnipotente, dans le choix de ses partenaires et l’organisation de programmes en consortium. Les finances n’étaient pas qu’une question d’argent, loin de là. Alors bien avant d’entrer en Aimhigher, Dylan, 5 ans, avant demandé à sa tutrice légale « Mère, nous n’avons pas le même sang, n’est-ce pas ? » Julianna avait répondu que non et que la transmission du sang était une conception impropre, livrant un court de génétique en bonne et due forme malgré la compréhension du sens véritable de la question. Puis elle lui avoua enfin, avec un sourire bienveillant en coin : « Je ne peux pas engendrer, Dylan. Mais peut-importe d’où tu viens, tu es mon fils. » Aussi l’accepta-t-il et ne se posa-t-il plus de question.

L’accent avait été particulièrement mis sur l’ignorance de sa rapidité de régénération. Les genoux cagneux ? Très peu pour le gamin qu’il fut. Aussi, Dylan n’alla pas en centre scolaire avec les enfants de technocrates. Le Aimhigher de son adolescence consista en un défilement de précepteurs, dans un bureau de la Pantocracy, aménagé non loin de celui de la CFO de la firme. Le Board des directeurs savaient. Les laborantins de l’équipée Lazaréenne savaient. Les non-dits planèrent sur lui toute sa courte vie. Lorsqu’il commença à être suffisamment aguerri aux technologies, il comprit que non content d’être l’enfant biologique de Cohen-Langlois, il devait aussi découvrir qu’il était mutant. Ils le laissaient appréhender les choses à son rythme. Tout comme le fait qu’il n’eut qu’un parent. Deux citoyens étaient nécessaires, mais il semblait que les règles avaient été enfreintes dans son cas. D’ailleurs, il n’avait pas d’ID chip. Les questions se démultiplièrent et bourdonnaient d’une violence telle qu’il ne parvenait à les faire taire qu’en vérifiant qu’il était bien un être de sang. Jamais malade. Jamais souffrant. Mais lorsqu’il se coupait, cela faisait mal et saignait. Tout était normal.

Les crises le prirent de plus en plus souvent au point qu’il eut du mal à les masquer, ne se laissant quasiment pas le temps de régénérer. Puis vint l’annonce Lazaréene. Hébété, Dylan ne réalisa pas. Ou plutôt, sa psyché s’était prudemment barricadée. Ce ne fut que quelques années plus tard, dans sa dix-septième année à l’occasion de la nomination du « Cobaye Lazaréen » en tant que CEO de la firme qu’il demanda tout en affirmant : « J’ai le même gène », la gravité et le sérieux du technocrate qu’il essayait d’être rivalisant avec la douceur et la tristesse de sa voix. « Oui », lui répondit-on. Alors la curiosité commença avec le tour des labos dont il devint un visiteur régulier. Il voulut comprendre, savoir comment son génotype avait été assemblé. L’historique lui fut caché et tout compté en version censurée. Mais de Valrogh, on ne le laissait pas s’approcher. Lucien Valrogh, qui ne ressemblait pas plus à Yiéran que Julianna ne lui ressemblait, en revanche, était comme un oncle et celui-ci s’intéressait de près à ses progrès. A sa majorité, il reçut enfin sa première ID et découvrit avec stupéfaction qu’elle était enregistrée au nom de Valrogh, et non pas Cohen-Langlois. L’explication convint : parce que Lucien était le responsable de labo à l’origine du gène de Lazare, son père avant lui, et le père de son père.

Puis vint l’heure de la politique intérieure de la firme à laquelle sa tutrice ne manqua pas de l’initier. Non pas les questions de législation mais les raisons d’Etats et autres mystères de l’Empire. L’on montrait du doigt le mutant aristo qui en peu de temps eut la main mise sur les rênes de la Firme. Quoi, n’était-ce pas son rôle en tant que Chief Executive ? Certes, mais il fallut croire que la belle plante avait jusqu’alors bien masqué ses intérêts pour le pouvoir. Et le pouvoir, Yiéran l’obtenait et l’exerçait avec un imbittable brio. C’est alors que tout lui fut balancé en combo. Non seulement partageait-il le même gène phare que l’aristo, mais tous les autres aussi. A nucléotide près. Et après cela, il allait falloir le rencontrer. L’espionner et rapporter. Car peut-être un jour, Dylan serait appelé à le seconder, voire, le supplanter.

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(c) Yiéran Valrogh


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